

L’été est là. On ride à fond.
Mais une fois rincé, cramé, vidé par une bonne journée de bike…
On mate quoi ?
Pas une vidéo YouTube. Pas un tuto.
Une série.
👉 In The Know, par SRAM.
Avec une ribambelle des riders les plus stylés de ces dix dernières années.
R-Dog qui fait danser un gros vélo avec plus de flow qu’un rappeur old school.
Conor Fearon qui découpe les virages comme si de rien n’était.
Et Brandon Semenuk… bon, là, c’est plus une ligne de tricks, c’est un dictionnaire entier.
Ce genre de série, c’est exactement ce qu’il me faut pour retrouver l’envie de remettre mes genouillères et d’aller reposer les crampons dans la terre.
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Summer’s here. And we’re riding full throttle.
But once you’re rinsed, cooked, wiped out after a big day on the bike…
What do you watch?
Not a YouTube tutorial.
Not a reel.
A series.
👉 In The Know, by SRAM.
Packed with some of the most stylish riders of the last decade.
R-Dog throwing shapes on a big bike with more flow than an old-school rapper.
Conor Fearon slicing corners like it’s nothing.
And Brandon Semenuk… that’s not a line of tricks anymore — it’s an encyclopedia.
This kind of series?
Exactly what I need to strap the kneepads back on and send it all over again.
Mais au fait… c’est quoi une bonne vidéo ?
C’est une question que je me pose souvent.
Je kiffe le ciné. Depuis toujours.
Et logiquement, je kiffe les films de MTB.
Mais c’est pas juste le ride, hein.
Oui, il faut du gros niveau. Des mouvements lisibles. Une ligne claire.
Mais il faut voir le rider. Voir le vélo. Sentir l’intention.
La lumière, le décor… ça compte à fond. Et la musique ?
Pas là pour faire joli. Elle porte le moment.
Une bonne vidéo, c’est un équilibre.
Un tout.
Une vibe.
Dans un monde qui ne respire plus — reels, shorts, clips de 15 secondes —
ce genre de projet, c’est une vraie pause.
Tu t’arrêtes. Tu regardes. Tu te laisses happer.
Et tu prends ta claque visuelle, sonore, émotionnelle.
Du ride comme on l’aime.
Filmée comme on aime.
Et ça… ça fait du bien.
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But really… what makes a good video?
It’s something I think about a lot.
I’ve always loved film.
So obviously, I love MTB edits too.
But it’s not just about the riding.
Yeah, you need skills. Clean lines. Moves you can actually read.
But you also need to see the rider. See the bike. Feel the intent.
Lighting, setting — it all matters.
And the music?
It’s not just background noise.
It carries the whole thing.
A good video is all about balance.
The mix.
The vibe.
In a world that doesn’t stop — reels, shorts, 15-second clips —
a film like this feels like a breath of fresh air.
You stop.
You watch.
You get pulled in.
And then it hits you — visually, sonically, emotionally.
It’s the kind of riding we love,
shot the way we want to see it.
And honestly… that feels damn good
📉 Montée, flow… et panne moteur.
Dernière sortie. Tout était parfait.
Et puis… bip bip. L’élec lâche.
Je l’ai déjà dit : j’adore les vélos électriques.
Tu peux rouler plus souvent, même quand t’as qu’une heure.
Tu vas plus loin, tu grimpes des murs — et t’as la banane tout le long.
Mais quand quelque chose lâche...
Put* de bor*** de fait ch**.**
C’est LOURD à pédaler sans moteur.
Alors oui, les e-bikes light arrivent, mais j’y suis pas encore.
Le mien ? Une enclume.
Je roulais sur mes trails locaux.
Mon genre de terrain : de l’enduro pur jus. Technique, mais fluide.
La vitesse se dose aux freins, pas aux coups de pédales — et ça, j’adore.
Et surtout : PAS D’ÉPINGLES.
(Oui, c’est personnel.)
Je vous vois venir. Pas la peine de répondre à ce mail pour me dire d’apprendre à les passer.
Je SAIS. Mais non.
L’épingle, ça casse le flow.
Et si tu veux mon avis, on en met pour deux raisons :
- C’est trop raide pour passer tout droit.
- Les shapeurs voulaient faire durer la ligne, même sans pente.
Donc… épingle, mini pente, re-épingle. Et ainsi de suite.
Bref, là-haut, il fait beau, sec, pas un pet de boue.
Je suis heureux.
Première descente : je reprends le rythme. Ça faisait un bail.
J’adoreeeee le vélooooo !
Deuxième run : encore mieux.
Flow, vitesse, appuis. Je suis dans le bon.
Troisième… bip bip.
Moteur coupé. Et là, il veut plus revenir.
Fait chier.
Je suis tout en haut. J’ai du taf qui m’attend.
Mais j’me dis : allez, la dernière, je la connais par cœur.
Je lâche les freins.
Zouuuuuuuu !
À la sortie, j’enchaîne un de mes meilleurs manuals depuis longtemps.
Heureux. Vraiment.
Puis j’essaie de repartir…
Ah oui, j’avais oublié : plus de moteur.
Je chipote, je trifouille, je nettoie les contacts, j’appuie partout.
Et là… bip bip.
Le moteur revient ! OUF.
Bon, bloqué en mode éco. Pas grave. Je remonterai à la force du mollet (un seul).
Finalement, rien de grave : le bike shop local m’a vite réglé ça.
Je vais pouvoir continuer à rouler tout l’été.
Et franchement, moteur ou pas…
Je suis prêt.
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📉 Climbing, flow… and then: engine failure.
Last ride. Everything was perfect.
And then… beep beep. Motor’s dead.
I’ve said it before: I love e-bikes.
You can ride more often, even when you’ve only got an hour.
You go further, climb walls — and you’ve got a stupid grin the whole time.
But when something fails...
F*ing hell. Absolute nightmare.**
It’s HEAVY pedaling without a motor.
Sure, light e-bikes are coming — but I’m not there yet.
Mine? A tank.
I was riding my local trails.
Right up my alley: raw enduro. Techy, but flowy.
Speed’s managed with brakes, not pedal strokes — and I love that.
And most of all: NO SWITCHBACKS.
(Yes, that’s personal.)
I know what you're thinking.
No need to reply and tell me to learn how to ride them.
I KNOW. Still hate them.
Switchbacks kill the flow.
And let’s be honest — they exist for two reasons:
- It’s too steep to go straight.
- The builders wanted to stretch the line, even without gradient.
So we get: switchback, mini slope, switchback. Again and again.
Anyway — up top, the sun’s out, the trail’s dry, no greasy mud in sight.
I’m stoked.
First descent: I’m finding rhythm again. It’s been a minute.
I loooove biking.
Second lap: even better.
Flow, speed, perfect grip. I’m locked in.
Third one… beep beep.
Motor cuts out. Won’t restart.
Shit.
I’m way up there. Got work waiting.
But I think, screw it — I know this trail by heart.
I drop in.
Brakes off. Zouuuuuuuu!
At the bottom, I pull one of my cleanest manuals in weeks.
Big smile. Fully buzzing.
Then I try to pedal back up…
Oh yeah, no motor.
I poke around, fiddle with stuff, wipe the contacts, press everything I can.
And then… beep beep. It’s back!
Stuck in eco mode, though. Whatever — I’ll climb it on one leg if I have to.
In the end? Nothing serious. My local shop sorted it fast.
I’m back in the game for the rest of the summer.
And honestly, motor or no motor…
I’m ready.

👂 À écouter dans le van, sur le vélo, ou dans ta tête juste avant un gros saut.
🎵 Master… MASTER!
Master of Puppets – Metallica
Pas besoin de te faire un dessin.
Ça démarre fort, ça ne ralentit jamais.
Comme ton ride idéal.
C’est le morceau qui t’attrape par le col, t’électrise les mollets, te hurle “t’es pas fatigué” alors que tu l’es clairement.
Tu veux lâcher les freins ?
C’est avec ça dans les oreilles que tu le fais.
Et puis soyons honnêtes : qui n’a jamais imaginé un edit avec ce riff mythique ?
Des rochers, des racines, du speed — et ce solo en descente.
Banger garanti.
👂 To blast in the van, on the bike, or just in your head before a big send.
🎵 Master… MASTER!
Master of Puppets – Metallica
No need to explain.
It hits hard from the first note and never lets up.
Just like your ideal ride.
It grabs you by the collar, fires up your legs, and screams “you’re not tired!” — even when you definitely are.
Wanna drop the brakes?
This is what you do it to.
And let’s be honest — who hasn’t imagined an edit set to that riff?
Rocks, roots, speed… and that solo as you tear down the hill.
Certified banger. Every time.

Outro – Merci pour la lecture !
Merci d’avoir pris le temps de lire cette 4ᵉ édition.
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Une question, une remarque, une envie de débattre ?
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Je réponds à tout, avec plaisir.
Bon ride, et à très bientôt sur les trails !
For the Wild
Claude
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Outro – Thanks for Reading!
Thanks for taking the time to read this fourth edition.
Got thoughts? Questions? Want to debate something?
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or drop me a line at info@valcariz.com — I’ll happily respond to every message.
Ride safe. Ride hard.
See you on the trails!
For the Wild
Claude



